Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de monsieur le député Thomas Gassilloud
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de monsieur le député François André
Photo de monsieur le député Pieyre-Alexandre Anglade
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de monsieur le député Florian Bachelier
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de monsieur le député Christophe Blanchet
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de madame la députée Françoise Dumas
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de monsieur le député Philippe Folliot
Photo de madame la députée Pascale Fontenel-Personne
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de madame la députée Émilie Guerel
Photo de monsieur le député Jean-Michel Jacques
Photo de monsieur le député Loïc Kervran
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Frédérique Lardet
Photo de monsieur le député Jean-Charles Larsonneur
Photo de monsieur le député Didier Le Gac
Photo de monsieur le député Christophe Lejeune
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de madame la députée Sereine Mauborgne
Photo de madame la députée Patricia Mirallès
Photo de madame la députée Natalia Pouzyreff
Photo de monsieur le député Thierry Solère
Photo de monsieur le député Gwendal Rouillard
Photo de madame la députée Sabine Thillaye
Photo de madame la députée Nicole Trisse
Photo de monsieur le député Stéphane Trompille
Photo de madame la députée Alexandra Valetta Ardisson
Photo de monsieur le député Richard Ferrand

Après le mot :

« vélocité »,

rédiger ainsi la fin de l’alinéa 404 :

« , la maintenance et les services aux satellites en orbite, la furtivité et la cyberdéfense. »

Exposé sommaire

La conception et la réalisation d’un satellite requièrent une dizaine d’années pour un équipement ayant une durée de vie équivalente. Au vu de l’accélération des progrès techniques, il devient extrêmement hasardeux de garantir la supériorité opérationnelle d’un matériel à vingt ans.

En matière spatiale, une solution consisterait à détenir une capacité de mise à jour et d’amélioration des équipements en orbite. Si aujourd’hui, la maintenance en orbite se limite aux activités humaines en orbite basse, demain les satellites pourraient bénéficier d’une extension de leur durée de vie grâce à des opérations de maintenance en orbite par des véhicules automatisés. Une telle capacité serait réellement disruptive. Si la technologie n’en est aujourd’hui qu’à ses prémisses, il convient de noter que certains de nos alliés y investissent massivement.

Enfin, il apparaît opportun de laisser ouverte l’énumération de l’article 404.