Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député David Lorion
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
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Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Ian Boucard

Supprimer la seconde phrase de l'alinéa 2.

Exposé sommaire

En supprimant le droit d’amendement en séance suite aux discussions en commissions, on empêche une deuxième vérification des parlementaires sur les textes. Ces derniers ont été votés en commission et le dépôt d’amendements en séance peut permettre de compléter un projet ou une proposition de loi suite à une nouvelle réflexion ou afin de contrer les modifications survenues lors de l’examen en commission.

Deux arguments cumulatifs permettent de justifier cette position :

- Tout d’abord, la fabrique de la loi est à tel point complexe qu’il n’est absolument pas souhaitable d’affaiblir l’intensité du travail parlementaire et réduisant l’itération du travail précis sur chaque aspect des textes. A cet égard, la double fenêtre (commission et séance) pour amender est indispensable.

- Ensuite, tout parlementaire sait qu’il est matériellement impossible de participer aux travaux de toutes les commissions. Cantonner le droit d’amendement aux travaux des commissions reviendrait donc tout simplement à priver une immense majorité des parlementaires du droit d’amender un texte de loi, ce qui est parfaitement inacceptable.