Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Compléter cet article par les mots : 

« en protégeant les éleveurs, le climat et la santé de ses citoyens. »

Exposé sommaire

"Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie, au fond, à d'autres est une folie."

Nous aimerions retrouver le Macron du printemps. Du moins, celui du début du printemps. Pas celui qui laisse la commission européenne négocier en pleine pandémie de Covid-19, en avril, l'importation de 20 000 tonnes de viandes depuis le Mexique.
Nous croyons qu'il est des biens et des services qui doivent être mis en dehors des lois du marché. C'est le cas de notre alimentation. Et, contrairement à ce qu'a pu dire Franck Riester, il faut que la négociation avec le Mercosur soit mise à la poubelle. D'une part pour notre santé, mais également celle de la planète et des éleveurs. Nos éleveurs qui, fortunés de leurs 700€ mensuels, vont être mis en concurrence avec des Brésiliens, des Argentins, qui touchent moins, et qui n'ont pas les mêmes normes d'élevage. C'est organiser la désorganisation. Un dumping social et environnemental.

Il faut jeter l'accord avec le Mercosur à la poubelle, de fait, via la Constitution.