Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Yves Hemedinger
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Olivier Marleix
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de madame la députée Anne-Laure Blin
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Philippe Meyer

I. – Rédiger ainsi l’alinéa 7 :

« c) Le troisième alinéa est supprimé ; »

II. – En conséquence, substituer à l’alinéa 9 les trois alinéas suivants :

« e) À l’avant-dernier alinéa, les mots : « ou résultant de l’affiliation prévue au troisième alinéa » sont supprimés ; »

« f) Le dernier alinéa est ainsi rédigé :

« Le représentant de l’État dans le département se charge de délivrer ou de retirer l’agrément à toutes les associations sportives, affiliées ou non à une fédération. »

Exposé sommaire

La mesure propose de rétablir l’autorité préfectorale en redonnant aux préfets la compétence pour délivrer « l’agrément sport » à toutes les associations sportives affiliées ou non à une fédération.

Antérieurement, toutes les associations sportives devaient déjà faire l’objet d’un agrément préfectoral, même si celles-ci étaient déjà affiliées à une fédération agréée.

Or, depuis 2015, l’affiliation d’une association sportive à une fédération sportive agréée par l’État vaut agrément. Cette mesure a retiré la compétence de délivrance de ce dernier aux préfets de département, pourtant en charge de la lutte contre la radicalisation et le terrorisme dans leur territoire.

En réinstaurant « l’agrément sport » au niveau départemental, les préfets seraient dotés d’un levier de police administrative efficace pour exercer leurs missions de lutte contre le terrorisme et de prévention de la radicalisation.

De plus, sur le plan local, cette coercition administrative permettrait d’alerter les élus et les organes déconcentrés des fédérations des dangers générés par un club pointé par l’autorité préfectorale.