Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Yves Hemedinger
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Olivier Marleix
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Philippe Meyer
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Michel Vialay

Après le sixième alinéa de l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Seront punis des peines prévues au premier alinéa ceux, qui par l’un des moyens énoncés à l’article 23, remettent en question la supériorité des lois de la République. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à créer un délit pour le questionnement de la supériorité des lois de la République.

Aujourd’hui, trop d’individus placent la loi de Dieu au-dessus des lois de la République.

Ces opinions participent à remettre en question notre État de droit et rejettent les principes fondateurs de la République française.

Cet amendement puni désormais ces actes d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.