Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Mireille Clapot
Photo de monsieur le député Pierre-Alain Raphan
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de madame la députée Claire Colomb-Pitollat
Photo de madame la députée Florence Provendier
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de madame la députée Fabienne Colboc
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Hugues Renson
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de monsieur le député Rodrigue Kokouendo
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de madame la députée Stella Dupont
Photo de madame la députée Liliana Tanguy

Après le mot :

« avantageuse »,

rédiger ainsi la fin de de la première phrase de l’alinéa 13 :

« au regard du coût du cycle de vie, sur la base d’un ou plusieurs critères dont l’un au moins prend en compte des caractéristiques environnementales de l’offre à hauteur minimum de 10 % de la note définitive. Ces critères sont objectifs, précis et liés à l’objet du marché ou à ses conditions d’exécution. »

Exposé sommaire

Prendre en compte systématiquement le coût du cycle de vie de l’offre, permettrait d’une part de limiter les asymétries d’informations dans la commande publique et d’autre part favoriserait la prise en compte systématique des coûts d’acquisition, de consommation d’énergie et autres ressources, de maintenance, des coûts liés à la fin de vie (collecte, recyclage) dans l’attribution des marchés publics.

Imposer un seuil environnemental minimum de 10 % de la note finale, attribuée aux offres par les entités adjudicatrices, permettrait de garantir une prise en compte systématique et effective de critères environnementaux adaptés à chaque commande publique. Ce seuil favoriserait également l’accès à la commande publique des TPE/PME françaises et européennes proposant les offres les plus avantageuses au plan écologique. Enfin cela promouvrait la sensibilisation aux enjeux environnementaux au sein des entités adjudicatrices.