Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

I. – À l’alinéa 6, après le mot :

« apportent »,

insérer les mots :

« obligatoirement et préalablement ». 

II. – En conséquence, à l’alinéa 10, après le mot :

« jour », 

insérer les mots : 

« , selon un calendrier précis et négocié, ». 

III. – En conséquence, à la fin du même alinéa, insérer la phrase suivante :

« Un suivi de la mise à jour du document unique est organisé lors de sa mise à jour. »

Exposé sommaire

Le document unique prévu à cet article pour recenser les risques professionnels dans l’entreprise est un document important mais à condition que le comité social et économique contribue systématiquement et préalablement à son élaboration. Aussi, la mise en œuvre du programme qui en découle doit se faire selon un calendrier strict et précis et doit faire l’objet d’un suivi, sous peine de ne formuler que de bonnes intentions qui ne verront jamais le jour. En commission, les rapporteures du texte ont affirmé que le texte était déjà suffisamment précis à ce propos. C'est faux. Il n'est nul part mention de la manière dont on s'assurera que les mesures prises seront effectivement suivis d'effet. On peut très bien réactualiser un document sans jamais en vérifier l'application. Or ce serait insuffisant. Il convient de mettre en place un réel suivi des mesures de protections des salariés. C’est l’objet même de cet amendement, qui nous a été soumis par la FNATH (Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés).