Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Florence Provendier
Photo de madame la députée Aurore Bergé
Photo de madame la députée Perrine Goulet
Photo de monsieur le député Denis Masséglia
Photo de madame la députée Laurence Gayte
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de madame la députée Marie Tamarelle-Verhaeghe
Photo de monsieur le député Jean-Michel Mis
Photo de monsieur le député Mustapha Laabid
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de madame la députée Catherine Osson

Au premier alinéa de l’article 706‑48 du code de procédure pénale, les mots : « peuvent faire » sont remplacés par le mot : « font ».

Exposé sommaire

En l’état actuel, les moyens d’enquête et d’expertise ordonnés par les magistrats ont essentiellement pour objectif d’instruire les dossiers des mis en examens. Les victimes sont uniquement interrogées sur les faits, mais ne sont pas examinées d’un point de vue médical. Elles ne bénéficient bien souvent pas du même niveau d’expertise médicale que leurs agresseurs. Ces victimes n’ont donc pas accès aux soins indispensables à leur rétablissement physique et psychologique, notamment en matière de psycho-traumatisme.

Ainsi, cet amendement, rédigé avec l’association Agir Contre la Prostitution des Enfants (ACPE), vise à rendre obligatoire l’examen médico-psychologique de tout mineur victime de violence sexuelle ou d’exploitation sexuelle pour mieux les accompagner et les soigner.