Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Michel Herbillon
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Julien Ravier

L’État, en concertation avec les parties prenantes concernées, mène une réflexion sur la mise en place d’un cadre couvrant l’ensemble de la chaîne de vrac d’ici le 1er janvier 2022. Est notamment considérée la nécessité ou non d’établir une charte qualité, une norme AFNOR, ou encore un label basé sur un référentiel, afin de favoriser le développement qualitatif du vrac, avec un impact positif sur l’environnement et la préservation des ressources, tout comme de garantir le respect des normes sanitaires.

Exposé sommaire

On ne peut que regretter le peu de dispositions en faveur du développement de la vente en vrac dans la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (dite loi AGEC) du 10 février 2020. Le projet de loi en question doit avoir pour objectif de compléter la loi AGEC afin de progresser rapidement vers les grands objectifs de réduction de déchets ménagers et assimilés et des déchets d’activité économique, ainsi que l’objectif de la fin des emballages plastiques à usage unique d’ici 2040.
Toute mesure allant dans le sens de prévention de la production de déchets à la source, notamment pour les emballages, permet d’appliquer et respecter la hiérarchie des modes de traitement des déchets qui sous-tend l’économie circulaire, et préserver ainsi efficacement les ressources en matières premières primaires et les ressources naturelles, y compris dans les processus de fabrication/d’industrialisation (énergie, eau…).
Dès lors, alors qu’il a été constaté une hausse progressive d’achat en vrac de la part des consommateurs (voir les études de l’Obsoco), et une demande pour un accès à un plus grand nombre de points de vente, il est plus que nécessaire de mettre en place un cadre couvrant l’ensemble de la chaîne du vrac (production, approvisionnement, logistique, transport, distribution, vente…) afin de permettre le développement rapide et qualitatif de la vente en vrac, mais aussi de rassurer les consommateurs, notamment en période de crise sanitaire.