Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de monsieur le député Hervé Pellois
Photo de monsieur le député Christophe Lejeune
Photo de monsieur le député Stéphane Travert
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy
Photo de monsieur le député Bertrand Bouyx
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député François Cormier-Bouligeon
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de monsieur le député Jacques Maire
Photo de monsieur le député Benoit Simian
Photo de madame la députée Patricia Mirallès
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Monica Michel-Brassart
Photo de madame la députée Liliana Tanguy
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier

Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant :

« En cas de mise en vente de tout ou partie d’un immeuble, la signature d’un document attestant de la connaissance du risque et du fait qu’il ne pourra être indemnisé en cas d’inhabitabilité ou de destruction du bien consécutive à la dynamique littorale entre les parties concernées est désormais obligatoire. »

Exposé sommaire

Les acquéreurs des biens mentionnés dans cet article reçoivent pour le moment, dans le cadre de « l’information acquéreurs-locataires », une communication « sur les risques naturels et technologiques majeurs, les risques miniers et la pollution des sols »

Cette communication intervient en fin de transaction, alors que les autres étapes du dossier de vente ont déjà été effectuées.

Le notaire, dans le cas d’une vente a pour seule fonction de vérifier que les informations nécessaires figurent formellement dans l’acte de vente.

Au moment où elle est reçue, cette information n’a quasiment plus la capacité d’influencer les décisions, y compris la négociation du prix de vente d’un bien.

C’est pourquoi, il convient d’apporter des compléments au dispositif actuel, en rendant obligatoire la signature par l’acquéreur d’un document attestant de sa connaissance du risque et du fait qu’il ne pourra être indemnisé en cas « d’inhabitabilité » ou de destruction du bien consécutive à la dynamique littorale.

C’est ce que propose cet amendement.