Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Guy Teissier
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Supprimer cet article.

Exposé sommaire

L’article 19 bis instaure un nouveau dispositif de protection des ressources pour l’alimentation en eau potable qui n’a aucune cohérence avec ceux déjà existants, dont les périmètres de protection des captages définis par l’article L-1321-2 du code de la santé publique, les aires d’alimentation des captages d’eau potable définies par l’article L. 211-3 du code de l’environnement ou encore les zones de captages actuelles et futures, destinées à l’alimentation en eau potable inclues déjà dans les registres des SDAGE (article L. 212-1 du code de l’environnement).  

La complexité juridique de la protection des captages d’eau potable est déjà un problème aujourd’hui. L’ajout d’un nouveau dispositif sans aucun lien avec l’existant aura pour conséquence de renforcer la complexité et non d'améliorer le dispositif. Pourtant il s’agit au contraire de créer des moyens humains et financiers pour mettre en œuvre des programmes efficaces avec les acteurs dans les territoires.

De plus, son écriture imprécise amènera à des difficultés d’interprétation, en l’absence d’organisation cohérente et efficace du droit.

Cet amendement vise à supprimer l’article 19 bis.