Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de madame la députée Huguette Tiegna
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier
Photo de madame la députée Alice Thourot
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de monsieur le député Stéphane Trompille
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Annaïg Le Meur
Photo de madame la députée Claire Bouchet
Photo de monsieur le député Lénaïck Adam
Photo de madame la députée Liliana Tanguy
Photo de madame la députée Patricia Mirallès
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de madame la députée Zivka Park
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Bruno Fuchs

Après l’alinéa 8, insérer l’alinéa suivant :

« VI. – Un décret définit une trajectoire pour rehausser les objectifs fixés par le présent article après 2024. »

Exposé sommaire

Le présent amendement prévoit l’écriture d’un décret pour prolonger la trajectoire au-delà de 2024.

La trajectoire fixée par la loi EGALIM a poussé la restauration collective à faire évoluer ses pratiques. L’objectif visant à ce que les repas fournis par les restaurants collectifs comprennent une part au moins égale à « 50 % » de produits de qualité est un objectif ambitieux. Cet objectif a nécessité une réorganisation profonde de la chaîne alimentaire, de l’amont à l’aval. Cette réorganisation a été opérée sur plusieurs années.

Au 1er janvier 2022, certaines cantines auront atteint l’objectif. D’autres l’auront dépassé et certaines devront encore faire un effort pour y parvenir. La réussite est plus importante là où les collectivités se sont emparées de l’objectif avec les réseaux de producteurs locaux.

Les élus locaux ont confirmé l’intérêt de cette mise en tension de l’écosystème alimentaire local et régional. A leur demande, l’objectif au-delà de 2024 pourrait être réhaussé.