Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Danielle Brulebois
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de madame la députée Annaïg Le Meur
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Ardouin
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de monsieur le député Stéphane Trompille
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de madame la députée Annie Vidal
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de monsieur le député Pierre Venteau
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Alice Thourot
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de madame la députée Claire Bouchet
Photo de madame la députée Liliana Tanguy
Photo de madame la députée Sira Sylla
Photo de madame la députée Patricia Mirallès
Photo de madame la députée Zivka Park
Photo de madame la députée Marion Lenne

Dans un délai de douze mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’Agence de développement et de la maîtrise de l’énergie remet un rapport au Parlement sur les potentiels de développement de ceintures maraîchères agro-écologiques autour des pôles urbains et sur leur intérêt pour renforcer la résilience alimentaire territoriale.

Exposé sommaire

Cet amendement travaillé avec « The Shift Project » prévoit le lancement d’une étude sur les potentiels de déploiement de culture maraîchères autour des pôles urbains sur un modèle de pratiques agro écologique permettant le maintien du rôle de stockage carbone des sols agricoles.

Les villes concentrent 80 % de la population française et les emplois ne cessent de s’y concentrer, plus particulièrement dans les grandes agglomérations. Les surfaces urbanisées augmentent plus vite que la population depuis plusieurs décennies, allongeant de ce fait les distances à parcourir pour se déplacer et aggravant la dépendance à l’automobile. La crise de la COVID 19 a mis en évidence notre dépendance à des flux de matières et d’énergie assurés par des systèmes logistiques complexes et internationaux, ainsi que les facteurs d’aggravation des risques environnementaux (pollution de l’air, îlots de chaleur, imperméabilisation des sols…) nous rendant vulnérables aux crises énergétiques et climatiques à venir.