Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Manuéla Kéclard-Mondésir
Photo de monsieur le député Hubert Wulfranc
Photo de monsieur le député Gabriel Serville
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de madame la députée Karine Lebon
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Jean-Paul Dufrègne
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de monsieur le député André Chassaigne
Photo de madame la députée Marie-George Buffet
Photo de monsieur le député Alain Bruneel
Photo de monsieur le député Moetai Brotherson

Après l’alinéa 1, insérer l’alinéa suivant :

« Dans les territoires d’outre-mer, tout ou partie de cette surface de vente doit être consacrée à la valorisation de la production agricole locale ou, lorsque le produit n’existe pas localement, de produits venus de l’aire géographique partagée. »

Exposé sommaire

La vente en vrac est une solution efficace de réduction des déchets plastiques et, le plus souvent, de consommation de produits de meilleure qualité. Cependant dans le cadre des territoires ultra-marins, cette logique n’a de sens qu’en limitant la part de produits alimentaires à l’import. L’empreinte carbone, et donc la pollution, générée par l’import compense tout à fait les bénéfices de la vente en vrac. C’est pour cette raison, mais aussi dans une logique de soutenabilité et de développement d’une consommation locale préexistante, ainsi que de valorisation du patrimoine alimentaire local, que cet amendement propose de mettre en avant dans ces surfaces de vente des produits issus de la production locale, lorsque cela est possible, ou le cas échéant des produits venant de l’aire géographique du territoire.