Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Robert Therry
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Stéphane Viry

Compléter l’alinéa 1 par les mots suivants :

 « et sous conditions d’un apport non équilibré en azote sur les cultures de l’exploitation agricole. »

Exposé sommaire

L’un des leviers principaux pour réduire les surplus azotés dans les exploitations agricoles et donc les utilisations excédentaires d’engrais azotés est la mise en place d’une gestion équilibrée en azote.

Si les apports sont maîtrisés, la taxation ne permettra pas de réduire les achats en engrais de synthèse et aura pour seul impact de dégrader considérablement les revenus des exploitants, considérant que :

- Les zones céréalières ont une offre relativement limitée en fertilisants organiques.

- Une étude publiée en 2020 et pilotée par le MAA a démontré que le gisement organique en France était insuffisant pour répondre à la demande des cultures, même en adoptant une stratégie de sobriété en azote et en augmentant les collectes d’effluents industriels et urbains (« Prospectives MAFOR »)

A ce titre, il convient de limiter la taxation aux exploitants n’ayant pas encore mis en place une gestion équilibrée de l’azote sur leur exploitation.