Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de madame la députée Samantha Cazebonne
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de monsieur le député Jacques Maire
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de madame la députée Huguette Tiegna
Photo de madame la députée Florence Provendier
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de madame la députée Cécile Delpirou
Photo de madame la députée Jacqueline Maquet
Photo de monsieur le député Frédéric Barbier
Photo de madame la députée Marjolaine Meynier-Millefert
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Sylvain Templier

Le 1° du I de l’article L. 211‑1 du code de l’environnement est complété par une phrase ainsi rédigée : « Les zones humides forment des milieux diversifiés qui sont caractérisés soit par un sol hydromorphe, soit par une végétation hygrophile ». »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à clarifier le code de l’environnement afin d’assurer la pleine protection des zones humides, en spécifiant que ces zones concernent également les sols hydromorphes sans végétation hygrophile.

Par son arrêt du 22 février 2017, le Conseil d’État a considéré que les deux critères (sol hydromorphe et végétation hygrophile) devaient être constatés pour définir une zone humide. Cela implique une possibilité de destruction d’espaces ne satisfaisant qu’un seul de ces critères, au profit d’espaces artificialisés. Il s’agit de clarifier ce point afin que la jurisprudence ne joue pas en la défaveur de la préservation des zones humides.