Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Bernard Deflesselles
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Julien Ravier
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Rémi Delatte
Photo de monsieur le député Michel Herbillon
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Robert Therry
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de madame la députée Nathalie Porte
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de monsieur le député Arnaud Viala

À la seconde phrase de l’alinéa 2, supprimer les mots : 

« , notamment l’augmentation du tarif de la taxe de solidarité mentionnée au VI de l’article 302 bis K du code général des impôts, »

Exposé sommaire

Une hausse de la TSBA engendrerait une perte de 12 à 16 millions de passagers par an, hors effet Covid, selon l’analyse d’impact portant sur la partie « Trafic Aérien » de la Convention Citoyenne sur le Climat.

Compte-tenu de la crise sanitaire actuelle, proposer une hausse de la TSBA au niveau national, à défaut d’un dispositif européen, ne semble pas être une piste adéquate : rappelons que le secteur aérien emploie 180 000 personnes en France et que déjà 30 000 emplois ont été supprimés en 2020, par suite des mesures de confinement imposées par le gouvernement. Ajoutons qu’une telle baisse de trafic pourrait, à l’avenir, engendrer d’importantes pertes dans le secteur du tourisme. De plus, de telles pertes économiques ne favoriseraient pas le financement d’avions bas carbone, notamment l’avion à hydrogène par exemple.