Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
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Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
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Photo de madame la députée Laurence Dumont
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Photo de monsieur le député Guillaume Garot
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Photo de monsieur le député Régis Juanico
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Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Après l’alinéa 7, insérer l’alinéa suivant :

« S’il apparaît, à l’issue de la durée totale cumulée de douze mois prévue à l’alinéa précédent, que le maintien des mesures de surveillance se justifie par l’existence d’éléments nouveaux et complémentaires, leur prolongation ne peut être décidée que dans le cadre de l’engagement de poursuites judiciaires. »

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe socialistes et apparentés vise à maintenir les principes fondamentaux de notre État de droit.

Si la prolongation des mesures de surveillance, décidées par l’autorité administrative, devait excéder la durée de 12 mois, il convient de confier au juge le soin d’en décider.

En effet, alors que leur maintien jusqu’à 24 mois doit être motivé en l’état actuel du projet par l’existence d’éléments nouveaux et complémentaires, on peine à comprendre pourquoi de tels éléments ne justifieraient pas l’engagement de poursuites judiciaires. De deux choses l’une : soit lesdits éléments sont sérieux et ils doivent entrainer des poursuites, soit ils ne le sont pas et alors le maintien de mesure de surveillance n’apparait plus proportionné.

Tel est le sens de cet amendement.