Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss

I. – À l’alinéa 19, supprimer les mots :

« en plusieurs lieux, ».

II. – En conséquence, à l’alinéa 20, supprimer les mots :

« dans les différents lieux ».

III. – En conséquence, à la première phrase de l’alinéa 22, supprimer les mots :

« en plusieurs lieux ».

IV. – En conséquence, procéder à la même suppression à l’alinéa 25.

Exposé sommaire

L’article 52 bis pérennise opportunément, grâce au travail conjoint du Sénat et du Gouvernement, les possibilités de réunion des conseils par visioconférence mises en place durant la crise sanitaire. Pour les intercommunalités, il assouplit les conditions d’application de la loi « Engagement et proximité », qui représentaient une première avancée mais restaient contraignantes.

La crise sanitaire a cependant invité à la plus grande agilité et des habitudes de travail ont été prises. S’il est normal que la visioconférence ne devienne pas la norme, elle doit cependant pouvoir être réactivé en tant que de besoin sans avoir à attendre de texte d’exception.

Or le fait d’imposer que la visioconférence se tienne « en plusieurs lieux » définis au préalable par l’organe délibérant, en ne permettant pas aux élus d’assister au conseil, le cas échéant, depuis un autre endroit (leur domicile, ou tout autre lieu), risque de ne pas résister à d’éventuelles nécessités futures, ni prendre acte d’une certaine souplesse de fonctionnement désormais passée dans les habitudes.

C’est pourquoi le présent amendement propose de supprimer la référence aux tiers-lieux pour permettre la connexion, où qu’ils le désirent, des élus.