Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Compléter l’alinéa 3 par la phrase suivante :

« Elle prend en compte la nécessité d’intégrer une formation au travail à la chaîne et d’informer les étudiants de cette réalité dans l’exercice du métier. »

Exposé sommaire

Les sages-femmes travaillent à la chaîne. Leur formation devrait les y préparer puisqu'il s'agit d'une réalité.


« Quand on a une patiente qui réclame sans péridurale, on proteste presque. Alors qu'on est pour l’accouchement naturel, mais on sait que ça va nous prendre du temps. »


« On se dit : « elle ça va c'est un biberon ». On a beau être pour l'allaitement au sein, c'est plus compliqué et avec le biberon on gagne du temps. »


Ces témoignages sont communs à toutes les sages-femmes : elles disent travailler à la chaîne à un moment où les femmes ont plus que jamais besoin de soutien, d'attention. 


Les règles de recevabilités nous privent de demander davantage de moyen. Ainsi, nous passons par la formation pour rester dans les clous.