Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Diard
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Michèle Tabarot
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de madame la députée Nathalie Porte
Photo de monsieur le député Julien Aubert

Après l’alinéa 1, insérer l’alinéa suivant :

« 1° A Le I est complété par les mots : « bâties depuis la promulgation de la loi n° 2000‑1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains » ; »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à mettre fin à la rétroactivité de la loi SRU.

En effet, cette loi a imposé 25% de logements sociaux aux communes de plus de 3500 habitants, indifféremment de leur situation géographique et historique au lendemain de sa promulgation.

L’effet de cette rétroactivité est sans appel : au lendemain de la promulgation de la loi SRU, les communes qui avaient un parc de logements sociaux en deçà du seuil fatidique des 25% pouvaient tomber sous le coup de la sanction, comme si elles pouvaient modifier leurs PLU et bâtir de nouveaux logements en des temps record.

Il semble ainsi plus logique que le seuil de 25% soit applicable aux logements bâtis à compter de la promulgation de la loi SRU, afin de faire appliquer ses dispositions de manière plus juste à l’égard de l’ensemble des communes.