Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Valérie Six
Photo de monsieur le député Thierry Benoit
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Pascal Brindeau
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Philippe Dunoyer
Photo de monsieur le député Jean-Christophe Lagarde
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de madame la députée Nicole Sanquer
Photo de madame la députée Agnès Thill
Photo de monsieur le député Jean-Luc Warsmann
Photo de monsieur le député Michel Zumkeller

I. – À l’alinéa 4, substituer aux mots : 

« participer au financement » »

les mots : 

« concourir volontairement au financement, en ce qui concerne les équipements médicaux, ».

II. – En conséquence, rédiger ainsi l’alinéa 7 :

« Art. L. 1423‑3. – Le département peut concourir volontairement au financement, en ce qui concerne les équipements médicaux, du programme d’investissement des établissements de santé publics, privés d’intérêt collectif et privés, en vue de soutenir l’accès aux soins de proximité. »

III. – En conséquence, rédiger ainsi l’alinéa 10 : 

« Art. L. 1424‑2. – Les régions peuvent concourir volontairement au financement, en ce qui concerne les équipements médicaux, du programme d’investissement des établissements de santé publics, privés d’intérêt collectif et privés de ressort régional, interrégional ou national. »

IV. – En conséquence, supprimer l’alinéa 12.

Exposé sommaire

Cet amendement vise à restaurer la rédaction telle qu’issue du Sénat.


En commission des affaires sociales, la majorité est revenue sur :


-       Le caractère facultatif de la participation des collectivités territoriales au financement des investissements des établissements de santé ;
-       La limitation de la participation des collectivités territoriales au financement des investissements relatifs aux seuls équipements mobiliers ;
-       Le principe de la spécialisation des investissements financés par les collectivités territoriales.
La crainte exprimée par le Sénat est que l’Etat se défausse sur les collectivités territoriales à moindre frais. Il n’appartient pas aux collectivités territoriales de pallier les carences de l’Etat.


Soit la compétence est décentralisée avec les crédits qui correspondent soit la compétence est assumée par l’Etat.