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© Assemblée nationale

() Il s'agit de la loi n° 70-632 du 15 juillet 1970 relative à une contribution nationale à l'indemnisation des Français dépossédés de biens situés dans un territoire antérieurement placé sous la souveraineté, le protectorat ou la tutelle de la France, la loi n° 78-1 du 2 janvier 1978 relative à l'indemnisation des Français rapatriés d'outre-mer dépossédés de leurs biens et la loi n° 87-549 du 16 juillet 1987 relative au règlement de l'indemnisation des rapatriés.

() Ces crédits relèvent de cinq ministères, et sont répartis sur six fascicules

() Les crédits des rapatriés ont diminué de 8% en 2001, de 16,71%, en 2000 et 19,8% en 1999.

() Voir le décret n° 70-982 du 27 octobre 1970 relatif à l'organisation, au fonctionnement et au contrôle de l'ANIFOM (Journal officiel du 28 octobre 1970).

() En fait, cette rebudgétisation a même été commencée par la deuxième loi de finances rectificative pour 2000, qui a prévu une somme 4,573 millions d'euros (30 millions de francs), reportable, pour le service de cette rente.

() Il faut décompter du report des crédits estimés de 2001 sur 2002, égaux à 14,66 millions d'euros, soit 96,15 millions de francs, la somme de 4,57 millions d'euros (30 millions de francs), déjà prise en compte au titre de la rente viagère.

() A raison d'une aide de l'Etat qui peut être estimée en moyenne à 84.850 euros (556.000 francs) par dossier sur la base des résultats des premiers dossiers examinés.

() Créée en 1961 pour résoudre les problèmes de logement des personnels civils et militaires du ministère de la Défense, soumis à une importante obligation de mobilité géographique, la SNI est placée sous la tutelle du ministère de la Défense.

() Le Président de la SNI estime que, dans une configuration courante, les frais de structure auraient représenté 8% à 9% du coût des travaux, soit de 600.000 francs (91.469,41 euros) à 700.000 francs (106.714,31 euros).

() Les procédures visées sont les actions en justice, les voies d'exécution (ventes adjudicataires), les mesures conservatoires (saisies) et les procédures collectives (règlement judiciaire). Les intérêts des créances ne sont pas, néanmoins, gelés. Ils continuent de courir.

() Le 9 novembre 1998 (Journal officiel des débats de l'Assemblée nationale, p. 8637).

() Les aides d'un montant inférieur à 3.000 francs (457,35 euros) sont accordées par les préfectures. Celles comprises entre 3.000 francs (457,35 euros) et 10.000 francs (1.524,49 euros) relèvent de la compétence du Service central des rapatriés.