N° 3320


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© Assemblée nationale

() Sur ces questions, il est possible de prendre connaissance des mesures les plus récentes concernant la lutte contre le terrorisme dans le rapport de notre collègue Bruno le Roux, fait au nom de la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République en vue de la lecture définitive du projet de loi relatif à la sécurité quotidienne, document n° 3352, mis en distribution le 30 octobre 2001.

() Ces entretiens ont été menés avec notre collègue Jean-Pierre Blazy, Rapporteur pour avis sur les crédits de la police nationale au nom de la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.

() Il faut noter que 57 de ces emplois créés, soit 3 postes de médecins contrôleurs, 7 postes d'assistants de service social et 47 postes d'ouvriers professionnels des services déconcentrés seront intégrés dans les capacités opérationnelles de la police nationale, alors que le montant de leurs rémunérations n'est pas imputé sur des chapitres budgétaires relevant de l'agrégat Police nationale.

() Tony Dreyfus, la gestion des effectifs et des moyens de la police nationale, rapport au nom de la Mission d'évaluation et de contrôle, document n° 1781, annexe n° 2.

) Il faut rappeler que cette disposition légale est la conséquence d'un arrêt du Tribunal des conflits du 25 mars 1996, Préfet de la région Rhône-Alpes, Préfet du Rhône contre Conseil des prud'hommes de Lyon, dit arrêt Berkani. Cet arrêt précise qu'un agent contractuel exerçant dans un organisme en charge d'un service public administratif est toujours un agent de droit public, même si son activité ne concourt pas directement à la réalisation du service public.