- Texte visé : Texte n°2764, adopté par la commission, sur le projet de loi, adopté par le Sénat d'urgence pour faire face à l'épidémie de covid-19 (n°2762)
- Stade de lecture : 1ère lecture (2ème assemblée saisie)
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
Compléter l’alinéa 1 par les mots :
« et les crédits afférents aux programmes de renouvellement urbain pour les communes et établissements publics de coopération intercommunale signataires de la convention pluriannuelle visée à l’article 10‑3 de la loi n° 2003‑710 du 1 août 2003 d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine ».
Le présent amendement des députés socialistes et apparentés vise, comme pour les crédits afférents au remboursement de la dette, à ne pas limiter à sept douzièmes des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent, l’autorisation d’engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement spécifiques au opérations de renouvellement urbain contractualisées dans le cadre du NPNRU. En effet, ces programmes entraînent des niveaux d’engagement très variables d’un exercice à l’autre, sur des volumes importants et dans un calendrier contraint. Dès lors, il apparaît nécessaire d’offrir cette flexibilité, s’agissant par ailleurs de projets prévus dans des conventions dont l’État est lui-même signataire.