Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de monsieur le député Christophe Bouillon
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Ericka Bareigts
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Luc Carvounas
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député David Habib
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée George Pau-Langevin
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joaquim Pueyo
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de madame la députée Michèle Victory

Substituer au mot :

« avril »,

le mot :

« janvier ».

Exposé sommaire

Les députés Socialistes et apparentés saluent le travail réalisé par le Président Philippe Bas au Sénat pour mieux préciser et encadrer le dispositif d’état d’urgence sanitaire proposé par le Gouvernement dans une temporalité très contraignante.

Notre groupe considère l’article 6 bis comme fondamental car organisant la caducité automatique de mesures exceptionnelles qui, au regard des conditions très particulières de leur adoption, n’ont pas vocation à être pérennes dans notre droit. Si une fois sortis de la crise sanitaire le Gouvernement ou le Parlement souhaitent créer durablement un tel outil, il conviendra de prendre le temps d’un réel débat parlementaire.

A cet égard, la date du 1er avril 2021 soit un an après la promulgation de la loi nous paraît excessif au regard des projections même les plus pessimistes. Nous proposons donc de fixer ce délai de caducité au 1er janvier 2021. Étant entendu qu’en cas de nouvel épisode épidémique à court terme, le Gouvernement aura toujours la possibilité de revenir devant le Parlement.