Fabrication de la liasse

Amendement n°CD4

Déposé le mercredi 18 novembre 2020
Discuté
Rejeté
(mercredi 25 novembre 2020)
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Nathalie Porte
Photo de madame la députée Marianne Dubois
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Ian Boucard

Après la référence : 

« L. 515‑44, »,

rédiger ainsi la fin de l’alinéa 2 : 

« le nombre : « 500 » est remplacé par le nombre : « 1500 » ; ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à appeler l’attention sur les nouvelles générations d’éoliennes qui atteignent des hauteurs supérieures à 200 mètres soit, à titre de comparaison, l’équivalent de la Tour Montparnasse à Paris. Le sacrifice des plus beaux paysages français qui s’ensuit est d’autant moins acceptable que l’intérêt de l’énergie éolienne est de plus en plus contesté, y compris par les défenseurs de l’environnement et des énergies renouvelables. Pour limiter le mitage et afin de préserver nos territoires ruraux, il apparaît opportun de revoir les distances minimales d’implantation des éoliennes par rapport aux habitations.
La distance minimale entre les champs éoliens et les habitations reste fixée à 500 mètres alors que la taille des mâts qui sont aujourd’hui installés a considérablement augmenté, puisque les nouvelles générations d’éoliennes peuvent atteindre des hauteurs supérieures à 200 mètres. De ce fait, les témoignages faisant état de nuisances se multiplient et ces règles minimales de distance favorisent la multiplication anarchique de projets éoliens dans les zones habitées dont les paysages vont se trouver sacrifiés.
C’est pourquoi, il apparaît opportun de revoir les distances minimales d’implantation des éoliennes par rapport aux habitations, actuellement fixées à 500 mètres, pour les porter au minimum à 1500 mètres. Tel est l’objet de cet amendement.