Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Olivier Falorni
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Philippe Vigier
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Jeanine Dubié
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de monsieur le député M'jid El Guerrab
Photo de monsieur le député Yannick Favennec-Bécot
Photo de madame la députée Sandrine Josso
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean Lassalle
Photo de monsieur le député Matthieu Orphelin
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel

Substituer aux mots :

« un décret définit » 

les mots :

« les maires des communes concernées et les représentants de l’État territorialement compétents définissent conjointement, sous réserve de la validation d’un protocole incluant des moyens de surveillance et de contrôle, ».

Exposé sommaire

Un amendement a été adopté par le Sénat afin de permettre la pratique sportive individuelle sur les plages et en forêt après la date du 11 mai, sous réserve de la publication d’un décret.

Or, la rédaction d’un décret et sa signature est une procédure qui peut être relativement longue. C’est pourquoi, il serait préférable de confier aux élus locaux et aux préfets qui connaissent parfaitement leurs territoires, le soin de fixer les conditions dans lesquelles ces pratiques sportives individuelles peuvent être autorisées, sous réserve de la validation d’un protocole incluant des moyens de surveillance et de contrôle.

Il est important de faire une distinction entre le bain de soleil et la pratique d’une activité sportive individuelle sur la plage ou dans l’eau. Le protocole déterminerait le concept de plage dynamique pour faire des plages des lieux de passage plutôt que des zones de rassemblement pour bronzer.

Ainsi, la pratique de la natation, du nautisme, du surf, du paddle, du kayak de mer, du kitesurf, de la pêche de plaisance ou de la course à pied sur les plages serait appréciée au regard du risque épidémiologique, des installations et de la typologie des plages pour différencier celles en milieu urbain et celles en milieu naturel, et in fine s’assurer du respect des gestes barrière.