Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Christophe Blanchet
Photo de madame la députée Mireille Robert
Photo de madame la députée Valérie Petit
Photo de monsieur le député Pierre Venteau
Photo de monsieur le député Rémy Rebeyrotte
Photo de madame la députée Christine Le Nabour
Photo de madame la députée Valérie Oppelt
Photo de monsieur le député Jean-Michel Mis
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de monsieur le député Jean-Charles Larsonneur
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de madame la députée Sonia Krimi
Photo de monsieur le député Stéphane Travert
Photo de monsieur le député Ludovic Mendes
Photo de madame la députée Sereine Mauborgne
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de monsieur le député Benoit Potterie
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Damien Pichereau

Au second alinéa du 2° du I de l’article 1er de la loi n° 2020‑856 du 9 juillet 2020 précitée, après le mot :« ordonnée », sont insérés les mots : « pour une durée n’excédant pas trois mois, ».

Exposé sommaire

Partant du principe maintes fois ressassé par l’exécutif que "les français doivent apprendre à vivre avec le virus", le gouvernement doit donc apprendre à gouverner de même.

 

Les mesures d'exceptions, telles que la fermeture administrative des établissements de type P depuis le 14 mars dernier ne semblent plus se justifier tant d'autres ERP accueillent des activités qui, par leur nature même, ne permettent pas de garantir la mise en œuvre des mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus si elles ne sont encadrées d'un strict protocole sanitaire.

 

Lesdits établissements de type P ont de longue date proposé un protocole sanitaire contraignant, mais ce protocole n'a jamais été examiné. A contrario, les activités qu'ils mènent habituellement dans leurs murs avec professionnalisme s'exercent aujourd'hui de manière sauvage dans la nature, en dehors de tout encadrement professionnel, et participent pleinement à la propagation de l'épidémie.

 

Permettre à ces établissements de reprendre leurs activités avec un protocole sanitaire sérieux serait donc préférable et plus à même de lutter contre l'épidémie que de les maintenir fermés et de feindre d'ignorer que des activités festives et dansantes ont toujours lieu en France sans le moindre respect des gestes barrières ; ceci s'apparentant à une politique de laisser faire.