Fabrication de la liasse

Amendement n°I-CF1210

Déposé le vendredi 2 octobre 2020
Discuté
Rejeté
(mardi 6 octobre 2020)
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Bernard Bouley
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de madame la députée Geneviève Levy
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Didier Quentin
Photo de monsieur le député Martial Saddier
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Rémi Delatte
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Pierre Vatin

I. – A l’article 151 septies du code général des impôts, le montant : « 250 000 € » est remplacé par le montant : « 500 000 € ».

II. – La perte de recettes pour l’État est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts. 

Exposé sommaire

Les exploitants agricoles sont exonérées sur les plus-values professionnels qu’ils réalisent à la double condition à savoir plus de 5 ans d’activité et un chiffre d’affaires inférieur à 250 000 €.

Si cette notion de durée d’activité ne pose jamais de problème, ce montant de chiffre d’affaires est totalement déconnecté aujourd’hui. Ce montant de 250 000 € s’applique depuis de très très nombreuses années et les entreprises d’hier n’ont plus rien à voir avec celles d’aujourd’hui.

C’est pourquoi, le présent amendement vise à rehausser ce montant à 500 000 €uros, ce qui permettrait à de petites et moyennes entreprises de ne pas être pénalisées lors de la cession de leur outil.