Fabrication de la liasse
Non soutenu
(vendredi 23 octobre 2020)
Photo de madame la députée Marie-Pierre Rixain
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de monsieur le député Julien Borowczyk
Photo de madame la députée Anne Brugnera
Photo de madame la députée Danièle Cazarian
Photo de monsieur le député Stéphane Claireaux
Photo de madame la députée Bérangère Couillard
Photo de madame la députée Laurence Gayte
Photo de monsieur le député Raphaël Gérard
Photo de monsieur le député Guillaume Gouffier Valente
Photo de monsieur le député Yannick Haury
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de madame la députée Jacqueline Maquet
Photo de monsieur le député Fabien Matras
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de madame la députée Valérie Oppelt
Photo de madame la députée Sophie Panonacle
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de monsieur le député Pierre-Alain Raphan
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock

I. – À l’alinéa 3, après la première occurrence du mot :

« calendaires »,

insérer les mots :

« et consécutifs ».

II. – En conséquence, procéder à la même insertion à la fin du même alinéa.

Exposé sommaire

La présente rédaction de l’alinéa propose de remplacer la période actuelle de onze jours consécutifs qui compose le congé paternité par une période de vingt-cinq jours calendaires ; soit de remplacer une période banalisée dans son entièreté par une possibilité de fractionnement multiple. Or, l’objectif de la réforme du congé paternité n’est pas de permettre au co-parent de se libérer professionnellement une fois par semaine pour garder son enfant, mais bien d’être présent à ses côtés chaque jour pendant une période donnée, à savoir pendant vingt-huit jours. C’est pourquoi cet amendement propose qu’il soit maintenu, dans la nouvelle rédaction, la notion de jours consécutifs.