Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Didier Quentin
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Door
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Marine Brenier
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Alain Ramadier
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Gérard Cherpion
Photo de monsieur le député Bernard Bouley
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de monsieur le député Robert Therry
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de monsieur le député Éric Pauget

Rétablir ainsi le III de l’alinéa 2 : 

« III.– Un décret détermine les conditions dans lesquelles le représentant de l’État dans le département peut, pendant l’état d’urgence sanitaire prorogé en application du I du présent article, à titre dérogatoire et lorsque la mise en œuvre des mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus ainsi que des gestes barrière est garantie, autoriser l’ouverture de commerces de vente au détail. »

Exposé sommaire

Amendement rétablissant celui du Sénat. 

Si la crise sanitaire oblige à des mesures restrictives pour contrôler la circulation du virus, la première vague nous a néanmoins démontré qu'il fallait concilier la prévention sanitaire avec un maintien de l'économie. 

Les petits commerces, qu'ils soient dans des grandes villes ou dans des zones rurales ont pris toutes les mesures nécessaires pour accueillir leurs clients avec un protocole sanitaire strict. Les empêcher d'ouvrir est un non-sens et engendrera sans aucun doute une catastrophe économique. Un constat d'autant plus alarmant à l'approche de la période de noël, essentielle pour les chiffres d'affaires des petits commerçants.

Le pragmatisme doit être la règle et non le dogmatisme qui pousse à fermer tel ou tel secteur considéré comme "non-essentiel". 

Permettre au Préfet d'autoriser la réouverture de commerces de vente au détail si les mesures sanitaires sont garanties, constitue une décision de bon sens. Notre économie est déjà fragile, nos commerçants sont épuisés psychologiquement par une année difficile. Aussi, plutôt que de décider de façon arbitraire, optons pour le pragmatisme territorial qui peut être exercé par le Préfet.