Fabrication de la liasse
Non soutenu
(mercredi 11 novembre 2020)
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député François Pupponi
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Jennifer De Temmerman
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de madame la députée Sylvia Pinel
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Jean-Michel Clément
Photo de monsieur le député Sylvain Brial
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de madame la députée Jeanine Dubié
Photo de madame la députée Frédérique Dumas
Photo de monsieur le député Olivier Falorni
Photo de monsieur le député François-Michel Lambert
Photo de monsieur le député Jean Lassalle
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Benoit Simian
Photo de madame la députée Martine Wonner

I. – Au b du 1° du I de l’article 65 de la loi n° 2020‑935 du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020, les mots : « très forte baisse » sont remplacés par les mots : « baisse de 40 % ».

II. – La perte de recettes pour les organismes de sécurité sociale est compensée à due concurrence par la création d’une taxe additionnelle aux droits mentionnés aux articles 575 et 575 A du code général des impôts.

Exposé sommaire

Dans les territoires fortement touristiques, comme Paris, la côte d’Azur, la Corse, la côte atlantique..., les secteurs dont l’activité dépend de l’activité touristique et du niveau de fréquentation touristique des territoires sont autant impactés que les entreprises du tourisme stricto sensu (agroalimentaire, viticulture, pisciculture…) ; et ce, d’autant plus que la reprise après le déconfinement a été très timide, compte tenu du faible niveau de fréquentation cet été et de l’instauration du deuxième confinement qui met un terme définitif aux possibilités de rebond.

C’est pourquoi, s’il faut saluer la prise en compte de ces entreprises dans les mesures du plan tourisme en termes d’exonération des charges, la règle des 80 % de baisse de chiffre d’affaires pour bénéficier de la disposition, abaissée à 50 % pour ce deuxième confinement, est à saluer mais elle reste encore trop élevée ; elle doit être selon les auteurs de l’amendement ramenée à 40 % de pertes de CA a minima.