- Texte visé : Projet de loi de finances, modifié par le Sénat, pour 2021, n° 3642
- Stade de lecture : Nouvelle lecture
- Examiné par : Assemblée nationale (séance publique)
- Mission visée : Plan de relance
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Écologie | 0 | 0 |
Compétitivité | 0 | 500 000 000 |
Cohésion | 500 000 000 | 0 |
Plan pour l’égalité réelle en outre-mer | 0 | 0 |
Fonds de compensation des charges fixes | 0 | 0 |
Fonds de transition écologique des PME et TPE | 0 | 0 |
Plan de relance pour la Polynésie française | 0 | 0 |
TOTAUX | 500 000 000 | 500 000 000 |
SOLDE | 0 |
Cet amendement d’appel pour contourner la contrainte de l’article 40 vise à minorer en AE et en CP l’action 4 « Mises à niveau numériques de l'État, des territoires et des entreprises – modernisation des administrations régaliennes» du programme 363 « Compétitivités »pour abonder un l’action 2 « jeune » du programme 364 « cohésion ».
L’amendement vise à créer une aide pour les étudiants diplômés à la recherche d’un premier emploi, qui ont souvent moins de 25 ans et n’entrent pas dans les critères de la garantie jeune, prouvant ainsi les limites de ce dispositif comparé à une allocation universelle.
Nous proposons, à défaut de cette allocation universelle pour les jeunes, de rétablir l’aide à la recherche du premier emploi. Avec la crise, les offres d’emploi pour les jeunes diplômés se raréfient et les délais avant l’obtention du premier emploi ont tendance à s’accroître. Afin d’éviter que ces jeunes diplômés tombent dans la précarité, rendant ainsi encore plus difficiles ces recherches, le rétablissement de cette aide supprimée par la majorité actuelle semble essentiel.