Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Compléter cet article par la phrase suivante :

« Elle s’engage à ne pas polluer les autres continents. »

Exposé sommaire

Lawrence Summers, ex-président de la banque mondiale : « Juste entre vous et moi, la Banque mondiale ne devrait-elle pas encourager davantage la migration des industries sales vers les pays moins développés ?" Et il répond : "La logique économique derrière le déchargement de déchets toxiques dans les pays aux bas salaires est irréprochable. »

Cette pensée a aujourd'hui réussi une victoire idéologique. C'est aussi la victoire du fameux "en même temps". On interdit l'extraction du charbon sur le territoire nationale et en même temps, on augmente considérablement notre pollution importée et la mise à sac des autres pays, souvent en voie de développement.
Selon le Haut conseil pour le climat, nos émissions de gaz à effet de serre importées sont en hausse de 78% depuis 1995. Dans les faits, ces GIES ce sont les milliers de tonnes de bœufs importées du Brésil. Ce sont les masques chinois donnés aux députés à l'Assemblée nationale. Ce sont les pneus asiatiques. C'est aussi l'extraction de pétrole en Ouganda de Total.

La Constitution doit affirmer que la France protège l'environnement et la planète dans son ensemble.