Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Célia de Lavergne
Photo de madame la députée Aude Bono-Vandorme
Photo de madame la députée Anne-France Brunet
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de monsieur le député Anthony Cellier
Photo de monsieur le député Yves Daniel
Photo de madame la députée Michèle de Vaucouleurs
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de madame la députée Caroline Janvier
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de madame la députée Laurence Maillart-Méhaignerie
Photo de madame la députée Sandrine Mörch
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de monsieur le député Jean-Bernard Sempastous
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock

Après l’alinéa 31, insérer l’alinéa suivant :

« II bis. – Le médiateur de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, les médiateurs académiques et leurs correspondants, tels que définis à l’article L. 23‑10‑1 du code de l’éducation, reçoivent et traitent les réclamations individuelles relatives aux décisions d’autorisation de l’instruction en famille rendues par l’autorité de l’État compétente en matière d’éducation, sans préjudice des voies de recours existantes. Les médiateurs et leurs correspondants traitent les réclamations formulées par les familles concernant un refus d’octroi d’une autorisation à exercer l’instruction en famille, et étudient le bien-fondé de ces dernières. Les réclamations doivent avoir été précédées de démarches auprès des services concernés. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à assurer la possibilité aux parents d’enfants souhaitant pratiquer l’instruction en famille et s’étant vu opposer un refus de l’administration, de recourir à un processus de médiation auprès des médiateurs de l’éducation nationale et de leurs correspondants. Ces derniers étudieront le bien-fondé des refus donnés aux familles quant à la pratique de l’instruction en famille.

Cet amendement vise à faciliter le dialogue et la résolution des conflits, à éviter le ressenti de décisions arbitraires et insuffisamment motivées, et ainsi à sortir des différentes situations rencontrées dans l’intérêt supérieur de l’enfant.