Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Xavier Breton
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Anne-Laure Blin
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Jean-Claude Bouchet
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin

À la première phrase de l’alinéa 2, après le mot :

« relevés »,

insérer les mots :

« s’agissant des cas définis aux  1° et 3° du IV de l’article L. 442‑2 du code de l’éducation ».

Exposé sommaire

Le projet de loi est exagérément punitif.  Il convient de prévoir des sanctions pénales contre le directeur uniquement lorsque l’ordre public ou la sécurité des enfants sont en danger ou bien lorsque le directeur s’est opposé aux contrôles de l’administration. S’agissant des motifs de fermeture relatifs à l’enseignement, ils sont trop difficiles à être définis objectivement pour être la base de sanctions pénales. Ces manquements donnent en outre déjà lieu à une fermeture de l’école (et à une interdiction d’enseigner et de diriger), sans qu’il soit besoin de les sanctions aussi sur le plan pénal.