Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de monsieur le député Éric Alauzet
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Corinne Vignon
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de madame la députée Sylvie Charrière
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de monsieur le député Patrice Perrot

Au début de cet article, insérer la phrase suivante :

« L’action des pouvoirs publics encourage la vente en vrac définie à l’article L. 120‑1 du code de la consommation, notamment par un appui technique, règlementaire et des actions de sensibilisation. »

Exposé sommaire

Cet amendement, travaillé avec le Réseau Vrac, vise à encourager le développement de la filière vrac dont les objectifs sont la réduction des déchets d’emballages jetables (notamment primaires) et du gaspillage alimentaire. La filière vrac a besoin d’un appui concret des pouvoirs publics pour encourager la vente en vrac de manière globale.
Cela doit passer par un appui technique. En effet les acteurs de la filière (producteurs, distributeurs) mènent des expérimentations pour faire lever des restrictions européennes à la vente en vrac, pour des produits tels que le lait ou les compléments alimentaires. La Commission européenne et le Parlement européen sont prêts à lever les restrictions fixées par des textes européens datés, sur la base de résultats de ces expérimentations, pour y parvenir les autorités administratives françaises doivent prendre en considération les expérimentations en cours.
L’accompagnement de la filière vrac doit également passer par un appui règlementaire. Il y a un réel besoin des consommateurs qui souhaitent avoir plus d’informations sur les produits alimentaires vendus en vrac (date de consommation, traçabilité etc.). En France, la perception d’un manque d’information sur les produits vendus en vrac est le 3e frein à l’achat en vrac pour les non-acheteurs. Pour cause, la règlementation sur l’étiquetage des produits alimentaire non préemballés n’est pas adaptée à la vente en vrac en libre-service.
Enfin, une action de sensibilisation pour informer les citoyens, les consommateurs, les publics dans les établissements scolaires, sur le mode de consommation vrac est impératif. Les pouvoirs publics doivent donc élargir leurs moyens d’actions afin d’accompagner le développement de la filière vrac.