Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Gérard Menuel
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de madame la députée Laurence Trastour-Isnart
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Michel Delpon
Photo de monsieur le député Jean-Carles Grelier
Photo de madame la députée Sylvie Bouchet Bellecourt

Après l’alinéa 1, insérer les deux alinéas suivants :

« 1° A (nouveau) Après le 1° du II, il est inséré un 1° bis ainsi rédigé :

« 1° bis Un plan de mise en place d’infrastructures de recharge en hydrogène produit à partir d’énergies non fossiles adopté à échéance 2030 en concertation avec les collectivités locales afin d’atteindre un objectif de 700 stations réparties sur l’ensemble des territoires de métropole et d’outre-mer. Il permettra d’accompagner la montée en puissance de la distribution du vecteur hydrogène destiné au transport par véhicules routiers lourds mais aussi par voie maritime et ferrée. Cette nouvelle offre sera également destinée aux véhicules légers ; » ».

Exposé sommaire

Cet amendement rejoint la volonté émise dans la loi d’orientation des mobilités de 2019 de déploiement d’infrastructures de recharge Hydrogène, à horizon 2030.

Cette décarbonation sera effective avec la multiplication des points de distribution d’énergie renouvelable, les véhicules hydrogènes atteignent aujourd’hui une autonomie de 500 à 700 km. Elle sera en constance évolution avec l’arrivée de nouvelles technologies sur ce type de véhicules, de plus, en termes d’avantage comparatif, effectuer le remplissage d’un réservoir d’hydrogène est aussi rapide que sur un moteur thermique alors que la recharge électrique prend plusieurs heures.

L’implantation de ces nouvelles stations permettra de développer une mobilité fluviale et ferroviaire moins émettrice de CO2 sans modifier les infrastructures existantes.

En impulsant l’augmentation des stations de recharge hydrogène, l’effet sera immédiat sur le développement de ce vecteur et répondra à l’ensemble des mobilités utiles que ce soit dans le transport de marchandises ou bien de personnes.