Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de monsieur le député Éric Alauzet
Photo de madame la députée Corinne Vignon
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de madame la députée Sylvie Charrière
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de madame la députée Nathalie Sarles

Rédiger ainsi cet article :

« Les pouvoirs publics tendent à ce que, d’ici le 1er janvier 2030, dans les commerces de vente au détail dont la surface est supérieure à 400 m2, 20 % en moyenne de la surface de vente des produits de grande consommation soient consacrés à la vente de ces produits présentés sans emballage primaire, y compris la vente en vrac. Elle tient compte des spécificités des différents produits vendus pour décliner cette ambition. La liste des produits concernés et les modalités d’application sont définies par décret. »

Exposé sommaire

Cet amendement vise à préciser le champ d’application de cet article programmatique. Tous les produits sans emballage sont concernés (ex. vente à la découpe) et pas seulement le vrac. La formulation s’appuie sur la définition du vrac et de la vente sans emballage du code de la consommation (art. L120‑1). Il précise par ailleurs, le champ d’application de l’objectif de 20 %, pour concerner les produits de grande consommation vendus dans les commerces de vente au détail de plus de 400 m2.


Enfin, l’objectif de 20 % constitue un objectif moyen, et que l’action publique tient compte des spécificités des différents produits pour décliner cette ambition