Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Alain Perea
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de monsieur le député Sylvain Templier
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de madame la députée Valérie Gomez-Bassac
Photo de monsieur le député Pierre Cabaré
Photo de monsieur le député Fabien Gouttefarde
Photo de madame la députée Graziella Melchior
Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de madame la députée Camille Galliard-Minier
Photo de madame la députée Christine Hennion
Photo de monsieur le député Gaël Le Bohec
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Marion Lenne
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de madame la députée Sylvie Charrière

Compléter cet article par l’alinéa suivant :

« III. – Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité remet au Parlement un rapport faisant état de l’amélioration de la procédure du délai d’instruction après le dépôt de plainte. »

Exposé sommaire

Lorsqu’une plainte est jugée recevable, le secrétariat du Jury de déontologie de la publicité réunit les pièces et le jury se réunit en présence des parties à l’affaire. C’est une procédure lente et fastidieuse. Entre le dépôt de plainte et l’avis du jury, une période d’un minimum de 2 mois s’écoule. Lorsque l’avis du Jury est rendu, la campagne publicitaire visée est souvent déjà terminée.

Ainsi, il est important d’accélérer ce délai d’instruction. La procédure d’urgence (article 17 du règlement intérieur), sur initiative du Président ou du Directeur Général de l’ARPP, peut se voir démocratiser.