Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Sandrine Le Feur
Photo de madame la députée Danièle Cazarian
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de monsieur le député Yannick Kerlogot
Photo de monsieur le député Jean-Louis Touraine
Photo de monsieur le député Patrice Perrot
Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard
Photo de monsieur le député Loïc Dombreval
Photo de madame la députée Florence Provendier
Photo de madame la députée Nicole Le Peih
Photo de madame la députée Annaïg Le Meur
Photo de madame la députée Sylvie Charrière
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Claire Bouchet

À l’alinéa 7, après le mot :

« environnement »,

insérer les mots :

« , aux limites planétaires ».

Exposé sommaire

Cet amendement est un amendement de cohérence avec l’amendement fait à l’article 2, visant à spécifier l’objet d’une telle éducation : informer les citoyens concernant les limites planétaires, et non pas généralement sur l’environnement, discipline intégrée depuis des années dans les programmes. 

La distinction est cruciale à l’élaboration d’un contenu pédagogique adapté à l’état des connaissances scientifiques sur les dégradations environnementales et le dérèglement climatique. C’est également un préalable à la pleine compréhension de l’impact humain sur ces effets, et de l’ensemble des implications de ces effets sur la modification des modes de vie.

Le terme de « limites planétaires » a été amplement discuté au sujet de la réforme constitutionnelle : si ce terme n’a pas sa place au sein de la Constitution, il semble désormais approprié de l’employer le plus largement possible, afin de faire référence avec précision et indicateurs à la clé, à l’état des lieux environnemental et climatique.