Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Paul Lecoq
Photo de monsieur le député Moetai Brotherson
Photo de monsieur le député Alain Bruneel
Photo de madame la députée Marie-George Buffet
Photo de monsieur le député André Chassaigne
Photo de monsieur le député Pierre Dharréville
Photo de monsieur le député Jean-Paul Dufrègne
Photo de madame la députée Elsa Faucillon
Photo de monsieur le député Sébastien Jumel
Photo de madame la députée Manuéla Kéclard-Mondésir
Photo de madame la députée Karine Lebon
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
Photo de monsieur le député Stéphane Peu
Photo de monsieur le député Fabien Roussel
Photo de monsieur le député Gabriel Serville
Photo de monsieur le député Hubert Wulfranc

Après l’alinéa 90, insérer l’alinéa suivant :

« L’eau est un droit humain et un bien commun indispensable à la vie sur terre. À ce titre, la France s’engage dans toutes les organisations internationales afin de protéger cette ressource contre sa financiarisation, c’est-à-dire contre la création de produits financiers reposant sur l’eau douce. Pour ce faire, elle met en place une réflexion visant à créer un ambassadeur thématique pour la ressource en eau. »

Exposé sommaire

La loi dans son écriture actuelle rappelle que l’eau est un droit, mais ne mentionne pas explicitement le fait qu’elle doit être un bien commun de l’humanité et du vivant.

Reconnaitre l'eau comme un bien commun de l'humanité doit entrainer la France à se désolidariser de toutes les initiatives actuelles de financiarisation de l’eau comme cela est le cas en Californie ou en Australie, et qu’elle ne devrait pas reconnaitre le prix de l’eau comme pouvant être fixée en bourse.

Il est également proposé de mettre en place un ambassadeur thématique sur cette question afin de répondre à la 16e recommandation du rapport de la mission d’information de Messieurs Petit et David sur le dérèglement climatique et les conflits.