Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Au titre, substituer au mot :

« salariés » 

le mot :

« salariées ».

Exposé sommaire

« On ne peut pas se mettre en maladie parce que l’on a que 43 % de la sécu et 7 % de la mutuelle des assmat. Moi, avec 3 enfants je fais 1000/ 1200 euros. »
Ici, nous souhaitons à nouveau féminiser la proposition de loi, afin de nommer correctement les faits. Lorsque l’on parle des assistantes maternelles, on parle de femmes précaires et précarisées parce que ce sont des femmes.
Ce sont des métiers féminins comme agents d’entretien, AVS, AESH. Dans le fond on se dit qu’elles font ça gratuitement à domicile, donc elles peuvent le faire gratuitement, comme elles l’ont fait durant des siècles. C’est comme s’il était admis dans la société que quand est une femme et qu’on effectue un métier du lien, c’est normal qu’on soit mal rémunérée.
Cette injustice doit cesser. Les métiers du lien doivent être rémunérés dignement.