Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Philippe Naillet
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de monsieur le député Gérard Leseul
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de madame la députée Gisèle Biémouret
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de madame la députée Laurence Dumont
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Christian Hutin
Photo de monsieur le député Régis Juanico
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Jérôme Lambert
Photo de monsieur le député Serge Letchimy
Photo de madame la députée Josette Manin
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de madame la députée Isabelle Santiago
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Sylvie Tolmont
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Hélène Vainqueur-Christophe
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de madame la députée Michèle Victory

Compléter cet article par l’alinéa suivant : 

« Un décret permet d’adapter les objectifs et les délais de réduction en Guyane, en Guadeloupe, en Martinique, à Mayotte et à La Réunion. ».

 

Exposé sommaire

L’ADEME rappelle régulièrement dans ses notes le rôle de l’agriculture dans l’émission de protoxyde d’azote et d’ammoniac. Ces molécules sont notamment contenues dans les fertilisants et les effluents d’élevages. Pour réduire ces émissions, il est nécessaire de modifier les pratiques et systèmes d’exploitation. Si la taxation progressive est bienvenue, nous devons dans le même temps donc proposer aux agriculteurs des alternatives. Dans les Outre-mer, la situation climatique particulière nécessite une approche adaptée et progressive vers une diminution sur l’importation d’intrants chimiques, avec de nouvelles méthodes de production. L’agroforesterie peut être un piste. Cela nécessite donc d’avoir une stratégie territorialisée pour les Outre-mer pour des changements de méthodes, des reconversions. À titre d’exemple à La Réunion, le Conseil Départemental et les filières travaillent sur le sujet, les associations sont en soutien. Cet objectif se fait aussi en lien avec les organismes de recherche pour adapter les méthodes de culture aux environnements ultramarins. Cette stratégie se fait sur la durée, avec des objectifs adaptés. D’où la demande de stratégie territorialisée pour atteindre les objectifs nationaux.