Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Robin Reda
Photo de madame la députée Edith Audibert
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Philippe Benassaya
Photo de monsieur le député Robert Therry
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Bernard Deflesselles
Photo de monsieur le député Yves Hemedinger
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de madame la députée Sandra Boëlle
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Jean-François Parigi

I. – À l’alinéa 4, substituer au mot:

« plusieurs » 

les mots: 

« au moins huit ».

II. – En conséquence, compléter l’alinéa 4 par les mots:

« , dont au moins trois aux heures de pointe ». 

Exposé sommaire

L’article 36 vise à interdire l’exploitation de services aérien sur des liaisons intérieures national, dès lors qu’un trajet alternatif, par un autre moyen de transport collectif, moins émetteur de CO2, existe en moins de 2h30. 

Les lignes concernées par une alternative ferroviaire en moins de 2h30 sont Paris-Lyon / Nantes – Bordeaux / Rennes / Marseille et Lyon – Marseille. 

Cette restriction de trafic aérien, en plus d’avoir de très importantes conséquences économiques pour le secteur aérien touché très fortement par la crise sanitaire, viendra limiter la liberté du commerce et de l’industrie mais aussi la liberté de déplacement pour les particuliers. 

Au-delà du travail engagé par les opérateurs concernés, le présent amendement vise à garantir au moins huit liaisons quotidiennes par moyen de transport collectif, moins émetteur de CO2, existe en moins de 2h30, dont au moins trois aux heures de pointe, ceci afin d’assurer une alternative fiable et efficace