Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Alexandre Holroyd
Photo de monsieur le député Thierry Michels
Photo de madame la députée Muriel Roques-Etienne
Photo de madame la députée Claire Bouchet
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy
Photo de monsieur le député Richard Lioger
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de madame la députée Véronique Riotton
Photo de monsieur le député Hervé Pellois
Photo de monsieur le député Xavier Roseren
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député François Cormier-Bouligeon

Au I de l’article L. 224‑7 du code de l’environnement, après la seconde occurrence du mot : « à », est inséré le mot : « très ».

 

Exposé sommaire

La lutte contre le changement climatique nécessite que notre modèle de développement soit plus sobre en énergie, notamment fossile.

Le parc automobile de l’État et de ses opérateurs est estimé à environ 65 000 véhicules légers (hors véhicules opérationnels), pour un coût annuel global de l’ordre de 600 millions d’euros. A ce titre, il est essentiel que la gestion du parc automobile de l’État reflète l’exemplarité de l’État en matière environnementale.

L’article 76 de la Loi d’orientation des mobilités prévoit notamment que l’’État et les établissements publics, dès lors qu’ils gèrent directement ou indirectement un parc de plus de 20 véhicules automobiles, doivent acquérir ou utiliser au moins 50 % de véhicules à faibles émissions lors du renouvellement annuel.

L’amendement propose que l’État et ses établissements publics, lorsqu’ils gèrent un parc de plus de vingt véhicules automobiles, acquièrent ou utilisent, lors du renouvellement annuel de leur parc, des véhicules à très faibles émissions dans la proportion minimale de 50 % de ce renouvellement.