Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Jean-Charles Colas-Roy

Jean-Charles Colas-Roy

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Photo de madame la députée Marjolaine Meynier-Millefert

Marjolaine Meynier-Millefert

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Photo de monsieur le député Loïc Dombreval

Loïc Dombreval

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Photo de monsieur le député Pacôme Rupin

Pacôme Rupin

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Photo de madame la députée Natalia Pouzyreff

Natalia Pouzyreff

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Photo de madame la députée Sandrine Le Feur

Sandrine Le Feur

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Photo de madame la députée Élisabeth Toutut-Picard

Élisabeth Toutut-Picard

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Photo de monsieur le député Jacques Maire

Jacques Maire

Membre du groupe La République en Marche

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À l’alinéa 5, substituer à l’année :

« 2028 »

l’année :

« 2026 ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à revoir l'objectif initial d'interdiction de la location des passoires thermiques fixé dans le texte à 2028 vers une nouvelle échéance en 2026.

Il est dorénavant indispensable d’émettre des signaux clairs et ambitieux pour lancer la structuration de la filière et atteindre les objectifs fixés par la SNBC. En effet, en 2018, 19% du total national des émissions de GES étaient issus du secteur résidentiel-tertiaire, devenant ainsi l’une des priorités des politiques environnementales. 

Selon l'avis du HCC : "le projet de loi laisse craindre la réalisation de rénovations énergétiques insuffisamment ambitieuses, et susceptibles de bloquer des logements à des niveaux de performance énergétique insuffisants." Il apparaît donc important de rappeler les enjeux principaux qui dépendent du rehaussement des ambitions de la politique de rénovation des bâtiments :

- Des aspects environnementaux à travers une meilleure maîtrise des consommations d’énergie et diminuer le gaspillage énergétique

- Des aspects économiques avec la montée en puissance d’une filière (création d’emplois)

- Des aspects sociaux et sanitaires en luttant contre la précarité énergétique, la santé environnementale et l’inconfort

Établir un nouvel objectif à 2026 au lieu de 2028 permettrait donc d’envoyer un signal clair à l’ensemble de la filière ainsi qu’aux propriétaires bailleurs et ainsi, nous permettre de tendre plus rapidement vers notre trajectoire de réduction des émissions des GES.