Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

 

Compléter l’alinéa 2 par les mots :

« et d’un menu dont les aliments ne proviennent pas de pays avec lesquels l’Union européenne a signé un traité de libre-échange. »

Exposé sommaire

Une fois par semaine, nous voulons un menu "hors libre-echange" dans les cantines.

L'objectif est de proposé à nos enfants un repas sans antibiotiques ou hormones.
En effet, le boeuf que l'on retrouve dans le cantines scolaires est à 40% du boeuf importé, c'est-à-dire du boeuf potentiellement canadien et bientôt brésilien.

Ces deux pays n'ont pas les mêmes règles sanitaires que la France. Au Brésil, nombreux antibiotiques sont utilisés pour faire prendre de la masse aux boeufs. Au Canada, ce sont les hormones.

Ainsi, si vous souhaitez continuer d'importer des viandes aux règles sanitaires douteuses, laissez au moins nos enfants en dehors de tout ça. Pas d'idéologie néo-libérale dans leurs assiettes.