Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Éric Coquerel
Photo de madame la députée Clémentine Autain
Photo de monsieur le député Ugo Bernalicis
Photo de monsieur le député Alexis Corbière
Photo de madame la députée Caroline Fiat
Photo de monsieur le député Bastien Lachaud
Photo de monsieur le député Michel Larive
Photo de monsieur le député Jean-Luc Mélenchon
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de madame la députée Muriel Ressiguier
Photo de madame la députée Sabine Rubin
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de madame la députée Bénédicte Taurine

Après l’alinéa 2, insérer l’alinéa suivant :

« aa) Le 2° du I est complété par une phrase ainsi rédigée : « La part minimale des produits d’origine animale visés par cette mesure est fixée par décret en Conseil d’État. » ; »

Exposé sommaire

Cet amendement, issu de discussions avec le RAC et le CIWF, vise à intégrer une part minimale de produits animaux dans les 20% de produits devant être issues de l'agriculture biologique dans la restauration collective (loi EGAlim).

Cet amendement s'appuie sur la proposition 2.1.7 de la CCC "accompagner les éleveurs vers une restructuration de leurs cheptels pour améliorer la qualité de la production".

Cet amendement vise à accompagner le changement des pratiques d'élevage. En effet, si un objectif de 20% de produits issus de l'AB est fixé, les produits végétaux seront favorisés puisqu'ils coûtent moins chers par rapport aux produits animaux (viande, lait, oeuf). Fixer un minimum de produits d'origine animale dans ces 20% permet à la filière de l'élevage de réaliser sa bifurcation vers des pratiques agro-écologiques.